FAQ

Spécialisé dans la verrerie, Benjamin Moussion démarche toutes les verreries et, à force de glaner des informations sur les problématiques et les moyens de les résoudre, il développe différents produits sans facturer le temps d’étude afin d’en conserver la propriété intellectuelle. Chaque base de composant répond ainsi à une application ou une problématique d’une usine, et peut ensuite être transposé dans d’autres. C’est l’histoire de la semence, et d’une pièce à l’époque, les références spécifiques s’établissent aujourd’hui à plusieurs milliers.

BMR s’engage sur un résultat. Tant qu’il n’est pas atteint, l’ensemble de l’équipe continue à travailler sur la problématique donnée. En grandissant, outre l’aspect technique, s’est développée l’activité d’achat/revente de pièces afin de nourrir notre ambition, à terme, de fournir toutes les pièces de machines. Les objectifs financiers, ayant trait à l’utilisation des machines, consiste à diminuer les interventions de maintenance, donc moins d’arrêt, ce qui signifie une augmentation de la production, sans pour autant négliger la qualité. BMR apporte en effet un soin tout particulier aux différents composants pour éviter l’éjections de produits finis à cause d’un défaut, quel qu’il soit.

L’accent est également mis sur les achats, car les grands groupes, comme les petits, cherchent en permanence à réduire leurs coûts de production, et nous leur proposons un package pour répondre à leurs besoins techniques autour de composants que l’on maîtrise pour pouvoir les réparer en interne. Le prix et la logistique sont ainsi optimisées. Une stratégie gagnant/gagnant, car plus de volume pour BMR, et des coûts plus bas pour ses partenaires.

La société BMR est aujourd’hui très bien implantée en France, mais le but est de continuer d’agrandir notre champ d’action. Notre stratégie consiste ainsi à développer notre activité à l’export, de plus en plus et de plus en plus vite. Cela commence par l’Espagne, l’Italie, la Suisse, l’Allemagne, mais aussi aux quatre coins de la planète… Nous souhaitons cependant conserver le développement avec nos partenaires en France pour proposer ensuite nos solutions techniques hors de nos frontières, avec l’objectif, à terme, de disposer d’entités dans chaque pays.

S’agissant d’une petite structure, BMR privilégie la confiance envers les jeunes diplômés afin de les former aux spécificités de l’industrie du verre et du PET. Nous cultivons de plus en plus cet esprit de découverte d’entreprise, de la technique, puis de l’ingénierie. BMR est attaché à donner sa chance aux jeunes, motivés pour comprendre la chose technique, et qui ont l’envie de participer au développement d’une petite structure... et de devenir des spécialistes du secteur.

BMR est né en 2009 pour satisfaire aux besoins de l’industrie verrière et, en 2015, s’est ouvert au marché du PET. En 2021, le verre représente 71% de l’activité, et le PET 29%. L’année précédente, ce rapport était de 78/22%.

La structure de BMR ne lui permet pas, aujourd’hui, de tout concevoir en interne. L’entreprise fait donc appel à la sous-traitance, proche de ses locaux. BMR souhaite cependant développer son autonomie, soit en investissant dans des machines, soit en reprenant d’autres structures, principalement d’usinage et de traitement de surface, ajoutant ainsi nos besoins aux marchés existants de ces entreprises.